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Citation: Gold, I. (2024). L’emprunt En Traduction. Tasambo Journal of Language, Literature, and Culture, 3(1), 390-395. www.doi.org/10.36349/tjllc.2024.v03i01.045.
L’emprunt En Traduction
Par
Iwala Gold
Department of French,
Federal University
,
Lafia
diwala2003@gmail.com
Résumé
Dans un monde où les connaissances évoluent d'une manière de plus en
plus alerte, le transfert des mots d’une langue à une autre
,
e
n
forme de l’emprunt
,
devient essentiel pour enrichir le vocabulaire des langues
de travail
.
L’emprunt c’est l’acte de maintenir certains mots
du texte de départ dans le texte d’arrivée, soit par manque d’équivalence soit
style et goût du traducteur.
Puisque
le
but
de la traduction est le transfert d
’un
e
réalité
idéologi
qu
e
,
médic
al,
religieux
ou
politique
,
d’une langue à
une
autre pour le bien de l’humanité
, le transfert des lexiques devint aussi une évidence. Notre object est ici
de montrer que l’emprunt est l’un des procédés de la traduction plutôt qu’un
handicap lexical ou de vocabulaire.
Cet article se base sur
la
théorie de la pertinence qui insiste sur le principe dans l’économie du langage
selon lequel le traducteur ne traduit que ce qui est pertinent. Donc nous
préconisons la procédure de ne traduire et de n’employer que ce qui est
pertinent dans la pratique de la traduction.
Mots cl
é
s.:
Traduction, emprunt, langue, transfert,
procédés
L’Introduction
Quand on parle de la traduction, on parle de l’un de demain de la
linguistique appliquée qui est un champ d'étude interdisciplinaire.
/La traduction
dépasse le
domaine de la linguistique pure, n'intéressant pas uniquement à
l'enseignement des langues ou les thérapies de problèmes
neurolinguistiques. Elle est le secteur des sciences du langage qui traite
des relations entre ces dernières et différents
d’autres
domaines
d'activité sociale
,
à savoir:
enseignement et apprentissage des langues,
communication
, politique
linguistique, terminologie et ingénierie des langues.
La traduction est le
fait de faire passer un texte rédigé
d’
une langue
« langue source », ou « langue de départ ») dans une autre
langue
dite la
« langue
cible », ou « langue d'arrivée »
/L’activité traduisante
met en relation au
moins deux langues et deux cultures, et parfois deux époques. Elle consiste à
transposer un texte écrit d’une langue à une autre, en transmettant le plus
fidèlement possible le message. (Association française de linguistique
appliquée 2016).
Elisabeth Lavault-Olleon
,
cité par Iwala (2008) dans Panorama
sur la traduction
,
affirme
que «Depuis les temps les plus anciens, la traduction est l’un des moyens
essentiels de la communication interculturelle, et l’un des modes majeurs du
croisement des cultures
.
Il n’en reste pas moins vrais que le fait culturel, dans son
essence,
facilite
fortement l’opération de
la
traduction »
.
Grace à la traduction
,
qui permet
/aux
traducteurs de partager, de faire connaître ou de transmettre des
lexiques d’une langue à l’autre
,
l’
un de
s
procédé
s
de traduction
proposés
par Vinay et Dalbernet
consiste
à emprunter les mots
de la langue de départ à la langue d’arrivée et vice versa.
Au cours de la traduction, le français a puisé de
nouveaux mots dans de nombreuses langues
de départ tout comme
seules d’arrivée, et a
ujourd’hui, ces mots n’ont plus l’apparence
de mots étrangers.
La traduction tient compte d'un certain nombre
de paramètres
,
contexte, grammaire
et
c
ulture
,
afin de se rendre compréhensible pour des personnes n'ayant pas de connaissance
de la langue source et n'ayant pas la même culture ou ne disposant
pas du même bagage de connaissances. Traduire suppose maîtriser la langue
source
,
mais aussi la langue cible ou destinataire,
qui est
de préférence
la langue maternelle
ou premiere langue
du
traducteur (Hua 2013). Un bon traducteur possède davantage des compétences
linguistiques
et
il doit être capable d'analyser le texte et il
doit lui-même posséder des qualités d'écriture. Pour traduire les textes
scientifiques et techniques, il doit également posséder de solides
connaissances techniques et maîtriser le jargon dans les deux langues (osler
2005).
Problématique
Toutes les langues n’ont
pas les mêmes évolutions et la traduction reste une activité qui exige des
connaissances connexes que celle qui est purement linguistique. Pour cette
raison Ladmiral (1994 : XVIII) accepte que « le concept de traduction
lui-même fait problème ». Comme la traduction relie des différentes
cultures et peuples, on peut avoir des obstacles qui sont autrement
infranchissables à cause la barrière des codes linguistiques. D
ans la
plupart de temps il y a des problèmes dans l’application des procédés
techniques de traduction lorsqu'on est confronté avec les textes à traduire.
Beaucoup de gens utilisent mal le procédé de l’emprunt et, par conséquent, la
traduction n’a pas du sens. Nous devons comprendre que si le procédé d’emprunt
n’est pas bien appliqué, la beauté et la validité du texte traduit sont
perdues. Ce travail envisage à montrer comment ce problème pourrait être
résolu.
Objectif
Ce
travail vise à étudier le concept de l’emprunt pour identifier ses variétés et
les cas de son emploi dans le processus de la traduction. Notre objectif est
donc de mettre en relief les différentes circonstances de l’intervention du
procédé de l’emprunt dans l’activité traduisante. Il faut toujours retenir que
le procédé de l’emprunt intervient dans la pratique de la traduction pour
résoudre l’impasse causée par le manque de l’équivalence des mots du texte de
départ dans le texte d’arrivée.
Méthodologie du travail
Nous
avons utilisé la méthode textuelle et contetuelle pour mieux discerner la
nécessité de l’intervention du procédé de l’emprunt dans toute activité
traduisante. Nous soulignons deux manière d’emprunter un mot. Soit il est
conservé comme il vient de la langue de départ, soit il est modifié selon la
discretion ou les caprices de la langue d’arrivée.
Revue littéraire
L’emprunt en traduction permet de garder l’authenticité du mot, du
message et la couleur locale qui disparaitrait si on utilisait un autre mot.
On emprunte donc pour enrichir la langue d’arrivée. Un phénomène
intéressant lié à l’emprunt c’est l’emprunt boumerang; (le mot humeur a
été emprunté par les Anglais, qui ont modifié le sens et puis ce sont les
Français qui l’ont emprunté de retour – humour).
Pour certains auteurs, toutefois, l’emprunt n’est
que rarement un procédé de traduction à proprement parler car il se trouve
généralement intégré au lexique.
On distingue deux types de traduction
a savoir
la traduction de textes
techniques/scientifique et la traduction littéraire. La majorité des
traducteurs professionnels traduit des textes techniques
, tandis que l
es traducteurs littéraires sont
indépendants
ou
attachés à
une maison d'édition.
Traduction Technique et Scientifique
La traduction technique concerne les documents tels que les
manuels,
les
guides d'utilisation,
les
documentations logicielles,
les
feuillets
d'instructions,
les
notes internes,
les
procès-verbaux,
les
rapports financiers,
les
contrats,
les
textes officiels,
les
articles scientifiques et autres documents destinés à un public limité
,
celui qui est
directement concerné par le document et dont la durée de vie utile est souvent
limitée.
Au domaine de la
traduction technique ou scientifique, il y a
/un langage pour
chaque domaine et
il y a
aussi
d
es
termes/terminologies. Ces termes sont empruntés
par
différentes langues.
Par exemple au domaine juridique, les termes
font
partie
de
langues,
de
institutions et
de
personnes qui ont
contribué à le modeler et au développement du droit dans le temps
,
c'est-à-dire, les
termes sont empruntés
à
une source. Quelques
terminologies juridiques d’expression latine sont :
a.
De facto
: expression latine « des faits ou sur les
faits »qui signifie en réalité au contraire de
de jure
« de loi » qui signifie officielle
b.
De cujus :
expression latine dont la formule entière est
« Is de cujus successione agitur » qui
signifie dans une succession testamentaire.
c.
Ad
probationem
, de lege ou ex lege :
sont des formules latines qui signifient en
vertu de la loi ; qui signifie une
condamnation judiciaire
d.
Extra petita :
est une
expression latine qui signifie une condamnation judiciaire
qui n’as pas été requise par le
demandeur
e.
Ultra
petita :
est une
expression latine qui signifie une déclaration judiciaire plus que ce qui a été requise par le demandeur.
f.
Ad
infinitum :
est une expression latine qui signifie à jamais’
g.
Ab
initio :
est une expression latine qui veut dire ‘dès le commencement’
h.
Modus
oparandi :
une
expression latine qui veut dire ‘mode d’opération’.
La traduction de
documents spécialisés dans des domaines technique
et
scientifique demande
qu’il
y
ait des compétences
très spécifiques des termes empruntés.
La traduction littéraire
Selon Iwala (2008) ‘La
traduction littéraire concerne les romans,
les
poèmes et autres
types de textes
relatifs
au
domaine littéraire
’
. Elle demande des
aptitudes en stylistique, une bonne imagination et des connaissances
culturelles étendues. Il s'agit de reproduire l'effet intégral du texte
original chez le lecteur du texte dans la langue d'arrivée, autant que le sens
des mots. La traduction doit être aussi plaisante à lire et susciter les mêmes
émotions que l'original, suivant l'adage de Cervantès : « ne
rien mettre, ne rien omettre ». Les grands traducteurs, quelles que soient
leurs langues de travail, ont une formation très exigeante,
des
études littéraires’.
D’après Jean-Charles (1996) la plupart de traducteurs littéraires traduisent à
partir de plusieurs langues
,
mais aussi et surtout
dans leur langue maternelle, langue vers laquelle ils traduisent
avec moins de soucis
.
De temps en temps, on
rencontre des phrases avec des mots compliqués relatifs uniquement au monde
évoqué dans le texte de départ et qui pourraient ne pas exister dans la langue
d’arrivée. Ces mots pourraient poser des difficultés pour le traducteur. Alors,
dans ce cas-là l’emprunt devient nécessaire. Particulièrement dans la
traduction littéraire, le traducteur utilise l’emprunt pour des raisons
esthétiques afin d’introduire une couleur locale dans l’œuvre.
Un emprunt est un mot
ou une expression qu’un traducteur emprunte à une autre langue, sans le
traduire, mais en l’adaptant généralement aux règles morphosyntaxiques,
phonétiques et prosodiques de la langue
d’arrivée
. Le
terme emprunt est d’ailleurs discutable dans la mesure où il n’y a jamais ni
contrat ni dette et dans la mesure où les mots
pris
n’ont pas à être rendus
.
Il y a des emprunts
anciens qui ne sont plus considérés comme des emprunts car ils sont entrés dans
le lexique de la langue emprunteuse et font partie donc de la langue.
Les apports d’autres langues
au lexique français proviennent en grande
majorité du latin
et du grec
,
bien que l’on trouve aussi des mots issus
de l’anglais
,
de l’arabe
,
de l’italien, de l’espagnol et
beaucoup
d’autres langues.
Exemple :
Latin
Le mot
d'origine latine
auscultare
est devenu sous la forme
française populaire
écouter
et
ausculter
sous
la forme française savante.
Le mot d'origine
latine
integer
est devenu sous la forme française
populaire
entier
et
intègre sous
la forme française savante.
Le mot d'origine
latine
fragilis est devenu sous la forme française
populaire
frêle
et
fragile
sous
la forme française savante.
Le grec
Le grec
a été une autre
source de nouveaux mots du lexique français. Linfluence de cette langue de
l’Antiquité apparait à la fois dans des mots et dans des éléments (préfixes et
suffixes) entrant dans la composition des mots. Les mots d’origine grecque sont
souvent liés aux domaines des arts et des sciences. La plupart d’entre eux
comportent les lettres
ch
,
th
,
ph
,
rh
et
y
.
Athée
vient de
atheos
(qui
signifie qui ne croit pas aux dieux).
Chronomètre
vient de
chronos
(temps)
et
metron
(mesure).
L’arabe
L’arabe
a aussi influencé
le lexique français, surtout pendant la période des croisades du Moyen
Âge. Le français moderne compte environ 300 mots provenant de l’arabe.
Calife
(qui
signifie chef suprême de la communauté islamique) vient de
l'arabe
khalifa
.
Algèbre
vient du
latin
algebra
, emprunté à l'arabe
al-djabr
.
Assassin
vient de
l'italien
assassino
, emprunté à l'arabe
assasin
.
L’italien
L’italien
a influencé le français pendant la Renaissance.
Notre langue compte aujourd’hui près d’un millier de mots empruntés à
l’italien.
Balcon
,
banque
,
canon
,
concert
,
moustache
,
etc.
L’espagnol
Environ 300 mots français proviennent de l’espagnol.
Cette influence découle principalement de la colonisation de l’Amérique du Sud
par les Espagnols.
Boléro
,
camarade
,
guérilla
,
sieste
,
etc. sont des mots directement empruntés à l'espagnol.
Chocolat
, de
l'espagnol
chocolate
, est emprunté à l'aztèque
chocolatl
.
Maïs
,
de l'espagnol
maíz
, est emprunté à l'arawak haïtien
mahiz.
Ces
mots, qui sont d'origine autochtone, ont fait leur entrée dans la langue
espagnole, puis ont été intégrés dans la langue française.
L’anglais.
Blazer
,
camping
,
comité
,
conteneur
,
rail
,
tourisme
,
tunnel
,
etc.
Ceci implique que
l’emprunt ne se traduit pas et souvent, le traducteur le rédige en italique.
L’emprunt caractérise beaucoup la traduction des œuvres africaines, et parfois
il est difficile de trouver l’équivalent dans la langue cible de ces emprunts
africains.
L’emprunt
L’emprunt doit être
clairement distingué de l’héritage qui, pour le français, correspond à
l’évolution, par voie orale et selon des processus complexes, de mots latins et
germaniques (fr. verre < lat. vitrum). Chaque langue est ainsi composée de
mots « autochtones », qu’elle a créés ou hérités de ses racines, et de mots
empruntés à d’autres langues. Le mécanisme de l’emprunt suppose des contacts
entre les langues et entre les personnes. Un emprunt est d’abord effectué par
un locuteur individuel ou par un groupe ; certains sont ensuite adoptés par la
langue, d’autres disparaissent.
Il y a différents types
de l’emprunt. On distingue trois types. Ils sont
1.
L’emprunt lexical
2. L’emprunt
linguistique
3. L’emprunt Sémantique
L’emprunt lexical
: le transfert des unités lexicales
de la langue source dans la langue cible, sans rien
modifier
sémantiquement
ou
structurellement
.
Il consiste à
emprunter des mots de la langue de départ à la langue d’arrivée et vice versa.
Exemple: Le français emprunte les mots comme : alaouite, ayatollah,
darbouka, keffieh, mastaba, méchoui, mechta, medersa, médina etc. de l’arabe.
De Chinois: ginseng, kung-fu, litchi,
mah-jong, ma-jong ou majong, nankin.etc. De l’anglais : weekend,
flashback, stop, parking, marketing, jogging, T-shirt etc.
Alors que
l’anglais emprunte les mots français comme : restaurant, coup d’état,
rendez-vous, tête-à-tête, esprit
de
corps, crème de la crème, laissez-faire, rendez-vous, fait accompli,
vis-à-vis.
L’emprunt sémantique
: Lorsqu’un
traducteur recourt au calque lexical, il crée ou utilise un néologisme dans la
langue cible en adoptant la structure de la langue source. C'est-à-dire, c’est
le transfert des unités lexicales de la langue
source dans la langue cible, modifiant sémantiquement. Dans certains
cas, le transfert du sens propre à la langue prêteuse s’effectue vers un mot
dont la forme est identique ou similaire dans la langue emprunteuse. Ces
emprunts sémantiques sont souvent jugés défavorablement puisqu’ils viennent, en
quelque sorte, concurrencer des mots préexistants. Cependant, certains sont
tout de même admis dans l’usage de nos jours.
Exemple : L’allemand handball se
traduit en espagnol par balonmano,
ou l’anglais skyscraper se
traduit en français par gratte-ciel.
L’emprunt linguistique
: Il y a emprunt linguistique quand un parler ‘A’ utilise et finit
par intégrer une unité ou un trait linguistique qui existait précédemment dans
un parler ‘B’ et que ‘A’ ne connaissait pas; l’unité
et
le trait
emprunté
s
sont eux-mêmes appelés emprunts. » (Dictionnaire de linguistique,
Larousse, 1973).
Usage de l’emprunt
Notons que toutes
les
langues empruntent les mots l’une l’autre. Nous donnons les exemples de
quelques emprunts dans les phrases
ci-bas
.
Phrases en français en utilisant l’emprunt.
a.
Ab initio
le commencement
de ses études à l’université c’est seulement ce weekend qu’il est venu nous
voir
.
b.
Nous n’avons pas de bons leaders
au Nigeria.
c.
J’aime m’habiller en T-shirt
d.
Le match de football aura
lieu ce soir
e.
J’aime faire le jogging
aussitôt matin
f.
Le marketing de ce produit
attire beaucoup de clients
g.
Elle est mon baby seater
h.
Où est-ce qu’on va faire le camping
la semaine prochaine
?
Phrases en anglais avec l’emprunt
.
a.
It’s difficult to know the modus
oparandi of these Bandits
b.
I want to have
a
tête à
tête
with you
after this programme
c.
There was coup d’état in
Niger last year
d.
He came with crème de la
crème of the community to see the President
e.
Is there any restaurant
here? I am hungry and I need to eat.
f.
He has good rapport with his staff.
g.
The rendez-vous of the
meeting is at the five-star hotel
h.
All the villagers came en
masse for the funeral ceremony
i.
I compared his last topic of
research vis-à-vis the ones I
earlier saw.
j.
In the wedding card, there is
the RSVP in case you need
information
k.
The aide de camp of the
President is too strict
l.
The menu is there for you to
choose what you want to eat but it is à
la carte.
m.
Their
people have esprit de corps
n.
When I travel, I will bring good souvenir for you
o.
I am looking for a job, here is my résumé.
p.
You are already eating, bon
appétit.
q.
They have good chef in
this hotel
Conclusion
Au cours de notre
discussion sur le concept de l’emprunt comme un procédé de la traduction, nous
nous sommes rendu compte que toute
langue emprunte des mots l’une
à
l’autre pour
s’
enrichir. Dans
ce
travail, nous avons
exposé
d
es mots empruntés
à
beaucoup de langues
, ce qui justifie le fait
que l
a
langue est dynamique,
ainsi
il y a des
transformations linguistiques.
Dans
cette communication, nous avons decouvert que l
’emprunt fait partie
des concepts essentiels en traduction
et
l
es traducteurs doivent
être très
bien
formés
en conséquence
.
La compréhension des
langues et des termes qui appartien
nent
aux
domaines de travail est importante pour l’activité de traduction, parce qu’au
fur et à mesure que les années passent, de nouveaux termes sont introduits dans
presque tous les domaines. Nous avons fait sortir quelques mots qui sont
reconnus au niveau international comme les mots empruntés
mais qui s’adaptent bien
dans la langue d’emploi en question
.
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